
Il n’existe pas de bonne manière de se dépigmenter la peau. Evidemment le mieux serait de ne pas avoir recours à cette pratique qui représente un réel problème de santé publique. Néanmoins il reste nécessaire d’aider les personnes concernées à préserver leur santé.
Une peau dépigmentée est une peau sans protection
Dans un article précédent concernant le blanchiment de la peau, nous vous expliquions qu’une peau dépigmentée était aussi fragile que celle d’une personne atteinte d’albinisme. C’est dire à quel point les produits dépigmentants sont agressifs !
S’exposer au soleil alors qu’on utilise des produits dépigmentants est tout simplement dangereux. Le blanchiment de la peau fragilise la peau, lui enlève sa protection solaire naturelle et augmente les risques de développer des maladies dues à l’exposition solaire comme le cancer de la peau.
Sur le plan esthétique, cela provoque entre autre des taches très foncée plus ou moins larges selon les personnes. Généralement on observe les taches au niveau des pommettes mais elles peuvent également apparaître sur d’autres parties du visage.
Il n’est pas rare de voir des personnes dépigmentées avec un melasma très foncé sur une peau rose voire rouge parfois. Ces taches peuvent s’installer de manière définitive si bien qu’aucun procédé dermatologique ne puisse les enlever.
La protection solaire est primordiale
Dans le cas des personnes qui se dépigmentent la peau plus que chez les autres, la protection solaire est un enjeu majeur et vital. Il est fortement recommandé aux personnes pratiquant la dépigmentation volontaire de se protéger du soleil au maximum à l’aide de :
- vêtements couvrants
- chapeaux à bords large
- crème solaire à indice maximal
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