C’est à n’en plus savoir quoi penser. Alors que l’alerte concernant les dangers des déodorants sur les tissus mammaires est ravivée, certains dénoncent un simple coup de com’.
En effet, une étude parue dans l’International Journal of Cancer publiée debut septembre mettrait en évidence le comportement cancéreux de cellules cultivées en présence de sels d’aluminium.
Cette etude ne pouvait pas mieux tomber puisqu’ à l’approche d’Octobre rose, les débats et campagnes de sensibilisation sur le cancer du sein reprennent bon train.
Certains chercheurs dénoncent neanmoins le manque de recul des media qui se sont empressé de relayer l’information sans “remettre les choses dans leur contexte”et sans respecter le principe de précaution pourtant recommandé par les auteurs de ces travaux.
Selon ces chercheurs, le protocole mis en place lors de l’étude ne permettrait pas d’établir un lien direct entre sels d’aluminium et cancer du sein. En effet, les cellules ont ete “cultivées durant quatre à six mois en laboratoire en présence de sels d’aluminium, puis injecté dans le corps de souris.”, ce qui rend difficile la comparaison avec les effets sur l’Homme.
Cette contre-annonce nous laisse dans le doute. En attendant de savoir qui dit vrai, jetons un oeil aux méthodes alternatives qui s’offrent à nous.
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